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avril 5, 2017 by Jerome Cid

Alors que Vucic a enregistré un score historique aux élections présidentielles serbes, la remportant sans même avoir besoin de second tour, nous nous préparions à terminer ce dossier spécial élections. C’était sans compter sur l’apparition de manifestations spontanées contre « la dictature de Vucic », rencontrant un certain succès à Belgrade. Voici donc une quatrième partie à notre dossier en trois parties, qui revient sur les espoirs déclenchés par ces cortèges, mais aussi sur leurs limites.

Les jeux sont faits… oh… wait !

Ça y est, Vucic est élu, au premier tour. Les sondages prédisaient entre 53 et 55%, il a fait 55%, au premier tour. Il s’agit là d’un score historique, qui n’avait pas même été atteint par Slobodan Milosevic à son plus haut, en 1992.

seselj president elections belgrade campagne
Portrait géant de Vojislav Seselj en cours de retrait le lundi 3 avril 2017 – Crédit : J.Cid

Tout s’est passé comme prévu. La victoire a, au final, été peu célébrée, si ce ne sont quelques feux d’artifices ça et là, tant cela semblait normal que Vucic accède à la fonction suprême.

Nous nous apprêtions donc à clôturer la couverture de ces élections, lorsque lundi, une manifestation spontanée contre cette victoire a eu lieu, et a rassemblé, à la grande surprise, plusieurs milliers de personnes (l’opposition au SNS parle de 10000 personnes, ce qui semble cependant surévalué). Puis une nouvelle, hier, qui a réuni à peu près la même foule, protestant contre « la dictature de Vucic ».

Vu de France, cela semble peu, mais c’est déjà plus que n’importe quel meeting de l’opposition durant ces élections, plus que la plus grande des manifestations contre Beograd na Vodi. Une protestation qui s’est déroulée dans le calme, sans violence. Dans l’histoire politique serbe récente, il s’agit d’un évènement singulier.

Dans les cortèges, certains se mettent à espérer changer le cours de cette élection. Collusion entre le pouvoir et les principaux médias, pressions du SNS sur certaines parties de la population, mainmise du premier ministre sur l’administration… les manifestants accusent le pouvoir d’avoir pipé les dés du scrutin, en l’ayant joué avant même le premier jour de la campagne.

Dans les manifestations, les slogans reprennent ceux des années 90. “Gotov je”, “il est fini”, scande la foule contre Vucic comme l’avaient fait les opposants à Milosevic il y a 20 ans. Certains se prêtent même à rêver à une nouvelle “révolution”, à l’image de la révolution des bulldozers du 5 octobre 2000 qui renversa Slobodan.

manifestation contre vucic president belgrade serbie
Cortège de la manifestation du mardi 4 avril 2017 sur l’esplanade de l’Assemblée Nationale serbe – Photo : J.Cid

Les chiffres contre les espoirs

Un tel renversement pourrait-il cependant se produire ? Le scénario reste très improbable, la situation étant totalement différente.

Des jeunes, beaucoup de jeunes, urbains pour la plupart, ont pris part au cortège, dans un pays majoritairement âgé, de plus en plus vieux d’ailleurs, dont la population est rurale à près de 45%.

L’opinion publique, par ailleurs, reste majoritairement favorable à Vucic. Les méédias ont certainement leur part de responsabilités dans cette popularité, mais le fait est là : en évaluant à son plus haut la fraude électorale, Vucic aurait gagné les élections, que ce soit au premier ou au second tour, aucun opposant n’étant capable de rassembler suffisamment autour de lui. Sa victoire a, par ailleurs été applaudie à la fois par la Russie et par l’Union européenne, de quoi apaiser la crainte d’une “ingérence étrangère”, ce serpent de mer couramment ressorti par la presse proche du gouvernement.

Vucic l’a d’ailleurs bien compris, en “permettant” ces manifestations, qui ne représentent pas une menace pour son leadership. Bien trop de monde lui soutient qu’elles constituent une menace. Il “n’a pas de temps pour ça”, comme il l’a lui même déclaré. Ces cortèges pourraient pourtant être problématiques à long terme. Bien que divisée et sans leader, l’opposition a prouvé qu’elle était capable de réunir des foules en moins de 24h, et à organiser des manifestations de taille plus que notable.

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Portraits géants de Vucic sur des bâtiments de Novi Sad en mars 2017 – Crédit : J.Cid

Pourra-t-il être plus populaire ?

Vucic a beau être très populaire, il n’est pas consensuel : ces manifestations montrent le rejet clair d’une partie de la population contre son action. Bien que petite, cette portion de la population pourra difficilement être réduite a néant, et le temps risque de jouer en sa faveur.

Moins de deux ans après son arrivée au pouvoir, Vucic n’a pas encore subi l’effet du temps sur sa côte de popularité. Son bilan économique a beau montrer une amélioration, les résultats ne pourront pas suivre la même courbe indéfiniment. Diminuer de 30 à 40% le  taux de chômage en deux ans, comme cela a été le cas entre 2014 et 2016, est une performance certes louable, mais qui sera sans aucun doute difficilement reproductible, tant la conjoncture a bénéficié des effets de la fin de la crise économique dans les Balkans.

Il faudra à Vucic trouver d’autres ressources pour continuer à rassembler. Si ce n’est pas le cas, l’opposition a d’ores et déjà montré qu’elle était capable de galvaniser les foules, il lui ne restera “plus” qu’à trouver un porte-parole suffisamment consensuel. Elle a pour ça du temps, c’est l’avantage quand on n’est plus au pouvoir…

manifestation contre vucic president belgrade serbie 2

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avril 2, 2017 by Jerome Cid

Aujourd’hui a eu lieu le premier tour des élections présidentielles serbes. L’occasion pour notre équipe de revenir sur les favoris du scrutin, ainsi que les enjeux.

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1/3: Qui est Aleksandar Vucic ?

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2/3 : les candidats : Vucic et les autres

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3/3 : Quels enjeux

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4/3 : Elections en Serbie… Le jour d’après

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avril 1, 2017 by Jerome Cid

Comme nous l’avons vu dans les deux parties précédentes, les élections présidentielles serbes tournent en fait autour d’un seul homme, Aleksandar Vucic, l’actuel premier ministre. Parts d’audience, discours de l’opposition, sondages, il n’y en a que pour lui. Mais, au fait, pourquoi une telle situation ? Pourquoi une telle popularité ? Et surtout, quels sont les enjeux de cette élection ?

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mars 29, 2017 by Jerome Cid

Hier, nous avons vu ensemble qui était Aleksandar Vucic, le grand favori des élections présidentielles en Serbie de 2017. Aujourd’hui, nous allons nous attarder sur les autres candidats et sur l’ambiance de la campagne.

Disposant d’une très nette majorité au parlement (48% des sièges, chose qui n’avait pas été vue en Serbie depuis la fin du communisme, y compris durant la période Miloševic), et d’une forte popularité, Vucic partait déjà avec une très nette longueur d’avance. La division de l’opposition, associée à une campagne violente dans les médias en sa faveur, va asseoir sa position de leader du scrutin.

L’opposition : des nationalistes radicaux, des pro-occidentaux divisés, et un humoriste

N’arrivant pas à se relever du séisme de la défaite de 2012, le Parti Démocratique (DS), qui incarnait jusqu’alors la principale force clairement pro-occidentale dans le pays, a échoué à se présenter comme une force d’opposition capable de rassembler. Au final, le DS ne propose même pas de candidat. Il apporte finalement son soutien à un candidat issu de la société civile, Saša Janković, ancien ombudsman (défenseur des droits) de la république de Serbie et supporté par 20 partis et mouvements (incluant Ne Coulons pas Belgrade, dont nous avions déjà parlé). En parallèle, l’ancien ministre des affaires étrangères de Serbie et ancien président de l’assemblée générale de l’ONU, lui-même ex-membre du DS, Vuk Jeremic, se présente, incarnant lui aussi une partie de l’opposition pro-occidentale.

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    Vuk Jeremic lors d’un meeting à Belgrade – Mars 2017 – Crédit photo : J.Cid
  • jankovic savamala meeting presidentielles serbie 2017
    Sasa jankovic lors d’un meeting à Belgrade – Mars 2017 – Crédit photo : J.Cid

Du côté des nationalistes radicaux, on assiste au retour de Vojislav Šešelj, le leader historique du SRS, détenu pendant plusieurs années à la Haye puis libéré en 2014. Il se présente sur la base de son programme, là aussi historique, prônant une rupture nette face à l’Union Européenne, et en faveur du développement de la grande Serbie.

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Vojislav Seselj donnant un discours à Vrsac en 2016 – Crédit : J.Cid

Un dernier candidat est venu cependant créer la surprise. Ljubiša Preletačević Beli : un humoriste ayant créé localement l’année dernière un parti satirique dans la banlieue de Belgrade, le SPN (Sarmu Probo nisi – tu n’as pas goûté les Sarma – une spécialité balkanique de chou farci). Ayant d’abord annoncé sa candidature sous forme de blague, il a finalement réussi à réunir suffisamment de parrainages pour se présenter. L’un des derniers sondages le créditerait de 11% des suffrages, le plaçant en tête de l’opposition.

On dénombre donc au total 11 candidats, les candidats restants n’étant pas crédités de plus de 5% des voix.

L’air délétère de la campagne

Malgré la très nette marge d’avance dont Vucic bénéficie depuis le début de la campagne, cette dernière se déroule dans un climat laissant peu de place à l’opposition.

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Répartition du temps d’audience sur les télévisions nationales serbes consacré aux candidats entre le 2 mars et le 22 mars 2017 – Données : CEM (Centar za Elektronske Medije i Komunikacije

Vucic dispose en effet d’une grande visibilité dans la presse. Il totalise par exemple plus d’heures d’apparition à la télévision que l’ensemble des autres candidats.

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Une du tabloid informer du 23/02/2017, reprenant en titre une interview avec Šešelj accusant Jankovic d’espionnage et de meurtre

Au-delà de ce temps de parole, le traitement des partis d’opposition par les médias se fait à leur défaveur. Les principaux journaux du pays, dont les propriétaires sont réputés proches du pouvoir, à l’instar du tabloïd Informer, ont en effet relayé de nombreuses accusations infondées. Il vont parfois même jusqu’à faire porter à Jankovic la responsabilité du suicide de l’un de ses amis en 1993, ou à affirmer que Vuk Jeremic était à la tête d’un réseau mafieux. Les accusations atteignirent leur paroxysme la semaine dernière, lorsque Milenko Jovanov, vice-président du SNS, a affirmé publiquement que Natasa Jeremic, la femme de Vuk, était à la tête du marché serbe de la drogue, affirmation finalement démentie par le Parti Progressiste.

Au-delà de cette situation médiatique, l’opposition est, elle aussi, paradoxalement impliquée dans la promotion de Vucic, la campagne tournant majoritairement autour de lui. Au final, la communication des candidats de l’opposition se limite essentiellement à la critique du bilan du premier ministre, à laquelle ce dernier répond en se présentant comme victime d’attaques de l’ensemble de la classe politique. L’expression « sam protiv svih » (seul contre tous) est devenue ainsi récurante lors de ses prises de parole. Certains rappels à l’ordre faits à l’opposition – comme par exemple celui du 25 mars de la commission électorale à l’encontre de Vuk Jeremic concernant l’utilisation non consentie de l’image de Vucic dans sa communication – viennent d’ailleurs confirmer le premier ministre dans sa rhétorique.

Opposition morcelée, part belle au SNS dans la campagne : face à une telle situation, rien ne semble donc s’opposer à la promotion du bilan de Vucic et de son projet. Que faut-il en retenir, et quels enjeux sont à prévoir au lendemain de cette élection présidentielle en Serbie ? 

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mars 28, 2017 by Jerome Cid

Dimanche prochain, la Serbie votera pour élire son prochain président de la république. Le premier ministre actuel, Aleksandar Vucic, est promis à une très large victoire. Les conséquences de cette potentielle victoire sont toutefois encore difficile à évaluer. L’occasion pour nous de revenir sur le principal candidat, l’actuel Premier Ministre, et grand favori des sondages.

Son image est partout : dans les médias, sur les panneaux publicitaires, dans l’esprit de tout le monde. À quelques jours du premier tour des élections, Aleksandar Vucic, le premier ministre serbe, est quasiment sûr de remporter le scrutin. Un second tour ne sera peut-être même nécessaire pour qu’il accède à la fonction suprême, dans la mesure où les sondages le créditent de 53% dès le premier tour, ce qui consoliderait sa position d’homme fort de Serbie, moins de 10 ans après la fondation de son parti, le SNS (Parti Progressiste Serbe), en octobre 2008.

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Affiches géantes de Vucic sur une façade de Novi Sad – Mars 2017 – Crédit photo : Jérôme Cid

Le jeune loup nationaliste

La carrière d’Aleksandar Vucic a pourtant commencé bien avant, en devenant, dès 1993, le plus jeune membre du parlement serbe, sous les couleurs des nationalistes du Parti Radical Serbe (SRS) dirigé par Vojislav Šešelj. Il gravira les échelons du pouvoir dans les années suivantes, atteignant le poste de ministre de l’Information de Slobodan Milošević de 1998 jusqu’à la chute de ce dernier en 2000.

Suite à la fin du régime de Miloševic, et à la perte d’influence des radicaux aux profits du Parti Démocratique (pro-occidental), Vucic se rangea dans l’opposition, retrouvant un poste de député en 2003, toujours sous les couleurs du SRS. Malgré ces défaites, il conserva une aura de leader, du fait de son jeune âge et de son ancienne fonction ministérielle, aux côtés du vice-président du SRS, Tomislav Nikolić, de facto chef du parti, Vojislav Šešelj ayant été extradé au TPY à la Haye pour répondre aux accusations de crimes de guerre.

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Nikolic (à gauche) et Vucic (à droite) lors du congrès fondateur du SNS, en 2008 – Crédit : Wikimedia Fondation/ CC BY-SA 3.0

Le tournant progressiste

Le SRS perdant de peu les présidentielles de 2008, Nikolic décide de faire sécession au SRS, et former le SNS (Srpska Napredna Stranka – Parti Progressiste Serbe). Aleksandar Vucic sera parmi les premiers à rejoindre ce nouveau parti, dont le programme est largement moins imprégné de nationalisme que le SRS, avec un objectif européen clairement annoncé.

Ce pari s’avèrera gagnant : Nikolic et le SNS battent aux présidentielles le parti démocratique en 2012, à la surprise générale. Les élections législatives qui suivent, (toujours en 2012) voient le SNS remporter le scrutin à la tête d’une large coalition. Vucic y obtient le poste de ministre de la défense. Deux ans plus tard, la coalition éclate, de nouvelles élections permettent cette fois-ci au SNS d’obtenir une nouvelle majorité, beaucoup plus large (sans être absolue). Aleksandar Vucic accède au poste de premier ministre, qu’il conservera deux ans plus tard lors de nouvelles législatives en 2016, échouant à obtenir la majorité absolue.

La candidat « imprévu » à la présidence

Les élections présidentielles se profilant pour 2017, Vucic créa à nouveau la surprise, en annonçant qu’il serait candidat, malgré la coutume qui aurait voulu que Tomislav Nikolic se présente pour renouveler son mandat. Ce dernier laissa d’ailleurs planer pendant quelques jours l’incertitude, en évoquant la possibilité de se présenter, avant finalement de laisser la place à Vucic.

Plus rien ne s’opposa alors au lancement de la campagne de Vucic.

À suivre : la campagne de 2017 – Vucic, et les autres

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